Télétravail

Imaginons un nouveau mot pour remplacer  » télétravail  » !

Télétravail est un mot démodé, peu enthousiasmant et pas très joli. Mais, surtout, il devenu inadapté pour représenter la révolution du travail collaboratif à distance et du coworking. Imaginons ensemble son remplaçant. Des idées ?

Le mot « télétravail » est daté. Il rappelle le bon temps de la télématique et des prémisses de l’aménagement du territoire par la Datar.

De plus, ce mot est un monstre linguistique, un oxymore sémantique formé avec un préfixe grec (tele, à distance) et un mot latin (travail, de tripallium, instrument de torture).

En 2007, j’avais recueilli plusieurs témoignages dans un article qui constatait l’inadaptation du mot à la réalité des nouvelles formes de travail à distance, en mode collaboratif, en réseau.

Le mot coworking est arrivé de Californie plus récemment et il exprime mieux la dimension de co-travail (co-working) que « télétravail » mais il traduit mal la notion de distance.

Travail à domicile est limitatif car on télétravaille aussi dans des tiers-lieux. Travail mobile est aussi incomplet car il n’exprime pas l’aspect de travail ensemble, de travail en réseau.

Bref, on n’a pas encore trouvé le mot idéal pour traduire travail collaboratif à distance ou collaboration à distance. A ma connaissance ni les Québecois, ni les Africains, pourtant gros créateurs de néologismes francophones, n’ont pas non plus trouvé le mot idéal.

Vous avez des idées ? Les commentaires sont à vous.

Xavier de Mazenod

Fondateur de la société Adverbe spécialisée dans la transition numérique des entreprises et éditeur de Zevillage.

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39 commentaires

  1. Que penses tu de mobilitywork ou openwork ? Mes amis québécois vont me détester mais décidément ça sonne moins bien avec le mot travail!

  2. Ben oui, je n’aime pas trop non plus les anglicismes. C’est pauvre alors qu’on a une langue vivante.

    J’aime bien openwork, il y a l’idée de mobilité et de liberté. « Travail ouvert » c’est moins bon 😉

  3. Le changement fait peur, alors pourquoi vouloir changer ? Le mot « travail » n’est pas récent ni glorieux, mais tout le monde connait sa signification, même les chômeurs seulement demandeurs d’un emploi. Changer pour changer ? C’est stérile non ? Télétravail est un terme qui commence seulement à être connu des entreprises. Beau ou pas beau quelle importance ? Le seul avantage serait que les chiffres français deviendraient incomparables mais franchement ne le sont-il pas déjà ? Alors pourquoi perdre encore du temps ? Tous les documents un peu officiels contiennent ce terme. Faut-il tout jeter et recommencer ? Franchement il n’y a rien d’autre à faire de plus urgent pour développer le télétravail que de vouloir en changer le nom ?
    Mais c’est une farce bien sûr et franchement elle est bonne, bravo.
    Gérard Vallet – Président de l’ANDT (T pour télétravail désolé).

  4. Gérard, je suis bien conscient qu’un changement obligerait l’ANDT à changer de nom 😉

    Je ne crois pas que le changement soit stérile car « télétravail » est un obstacle à son développement.

    Pas le plus important, bien-sûr, mais ce mauvais mot contribue à véhiculer des idées fausses ou ringardes.

    Enfin, ce n’est pas une perte de temps. Pour le peu de temps qu’on y passera… Si on trouve un bon nom, il s’imposera tout seul.

    Voir le chemin du concept du coworking en un an !

  5. Il est difficile de causer in French pour beaucoup, d’où la mode du co-working (en effet, c’est du co-travail). Donner un coup de jeune au télétravail me semble utile. Mais je crois qu’on aura du mal à se sortir du tripallium, culturellement marqué dans le monde latin ! On a aussi le labeur (labor en espagnol, lavoro en italien), mais la connotation est plutôt centrée sur la pénibilité. L’anglais work a le mérite de signifier aussi bien le travail que l’œuvre.

    Si donc, on pouvait faire œuvre commune, construire ensemble, co-lavorare, co-travailler, ce serait pas mal du tout.
    Mais ceci nous éloigne du télétravail, qui intègre surtout les formes de travail (lieu distant, etc.). De même, les outils de travail collaboratif des nomades (GoogleApps, agendas partagés, fichiers dans le nuage, etc.) se concentrent sur la façon de coopérer.

    Reste l’esprit du coworking, souvent décrit/vécu comme un des deux ingrédients avec l’espace physique dans lequel on peut bosser, échanger, rencontrer, créer du lien, des surprises, des nouveaux services, etc.

    Ma conclusion provisoire est que je ne vois pas comment on peut résumer dans un seul mot le travail à distance, le travail collaboratif, les outils et les lieux pour l’accomplir (et s’accomplir).

  6. Bonsoir à tous.
    J’ai lu quelques commentaires sympas, droles, lucides…
    Xavier nous relance. Sa première tentative date de 2007. Si je compte bien la prochaine sera en 2015.
    Pour ma part en 1997 j’avais lancé le 3615 TELEWORK ancêtre des serveurs. Le succès avait été énorme à l’époque. Mais j’avais été fermement rappelé à l’ordre pour franciser mon site. J’ai refusé, j’ai fermé et j’ai lancé un site Web pour remplacer le Minitel. Vous voudriez donc un grand retour en arrière ? En gros c’est un peu ça. Sauf que dans les commentaires, je vois des confusions entre le nom d’une forme d’organisation du travail et les noms des tiers lieux. ce n’est pas exactement la même chose. Pareil en ce qui concerne le télétravail salarié et le télétravail indépendant. Le fonctionnement en réseau pour les secrétaires ce n’est pas vraiment pour demain, et pourtant elles existent aussi.
    Allez Xavier encore un effort.
    Frédéric Lefebvre voulait faire travailler les gens comme des malades et aujourd’hui il est ministre subalterne comme diraient les militaires. L’avenir est donc à vous.
    Humour Xavier vous savez bien, vous qui avez fondé ZE village en bon françois.
    Gérard VALLET
    ANDT

  7. Bravo Gérard pour la référence au serveur Minitel !

    C’est bien ce que j’expliquais : « télétravail » est connoté « télématique ». Nostalgie quand tu nous tiens.

    Merci de l’avoir confirmé 😉

  8. Monsieur de Mazenod. Je n’envisage pas de polémiquer ici ni d’ouvrir un débat et uniquement avec vous sur le sexe des anges. La seule façon de faire est finalement de vous donner raison. Donc vous avez raison, le vrai retard du développement du télétravail en France, c’est son nom.
    Désolé de ne pas avoir compris ça plus tôt.
    Gérard VALLET

  9. Gérard, je croyais que vous arrêtiez 😉

    On peut en parler en direct si vous êtes plus à l’aise, on doit bien avoir 2 ou 3 sujets sur lesquels échanger.

  10. Comme le Novlangue dans 1984, on élimine les mots démodés pour les remplacer par des concepts plus positifs ? Mais au final, pourquoi télétravail parait démodé ? c’est bien parce que l’on en parle depuis 25 ans, et que les mentalités n’ont pas bougé.
    Le mot télétravail dit bien ce qu’il dit, ce sont les idées conventionnelles sur le travail qui sont datées et démodées.

  11. Sophie, la Novlangue était la langue d’un Etat totalitaire. Je propose, je n’impose rien.

    Bien-sûr que les mentalités sur le travail sont démodés, datées. Mais la vision du travail à distance aussi.

    Je ne suis pas inquiet : quand le besoin sera criant, le mot remplaçant du télétravail s’imposera.

  12. Tiens, il y avait longtemps que cela n’était plus sorti. Les éternels états d’âme des français du genre « à ce mot ne me plaît pas », « je préfèrerai qu’on parle de XXX », etc. Du ressenti sans aucun fondement sur la réalité des faits.

    L’ennui pour tous ces nostalgiques du vocabulaire, c’est que le seul mot qui ait une définition légale en France est bien le « télétravail ». Et vouloir une fois de plus, sans fondements réels, le remettre en cause ne sert qu’a alimenter la frilosité de ceux qui se réfugient derrière ce type d’excuse pour ne surtout pas faire. Heureusement, aujourd’hui en France, il y en a de plus en plus qui font et en légalisant la démarche. Alors, foin des discussions inutiles sur les mots avec ceux qui préfèrent la forme au fonds.

  13. Non Nicole, je ne suis pas d’accord avec toi.

    J’ai moi aussi assisté à beaucoup d’ergotages à propos de « télétravail ». Le débat n’est plus là mais plutôt là où Gérard Vallet le situait (voir plus haut) : est-ce que le mot freine l’adoption de nouvelles formes d’organisation du travail ? Je pense que oui (mais ce n’est pas la seule cause).

    Pendant 15 ans il a fallu faire un travail de pionnier pour convaincre des bénéfices du télétravail.

    Aujourd’hui c’est fait, tout le monde télétravaille en se fichant complètement de la définition de l’ANI, que peu connaissent d’ailleurs. Tu le sais bien toi qui déplore souvent le « télétravail gris ».

    Le salarié qui évite la grève, la pandémie ou la neige télétravaille comme M. Jourdain.

    Qu’on négocie des accords dans quelques grandes entreprises, tant mieux. On progresse.

    Mais le mot bloque car il impose une vision archaïque des évolutions 2.0. C’est tout ce que je veux dire.

    Pas de quoi s’énerver, il disparaîtra s’il ne correspond plus à la réalité du monde du travail 😉

  14. La réalité actuelle est que de plus en plus d’organisations ont compris que le temps du télétravail gris devenait compté étant donné l’évolution de la jurisprudence et qu’il valait mieux négocier pour que tout le monde soit protégé. Le mouvement est en marche en se concentrant sur l’essentiel qui sont les évolutions des organisations en apportant de moins en moins d’importance au « mot » qui permet d’agir en toute légalité.

  15. A la nuance près que 99 % des entreprises françaises sont des PME et 92 % des TPE (voir les statistiques de l’INSEE http://bit.ly/gxxolR).

    Un monde bien loin des accords d’entreprise où, à part une poignée de grandes PME, il n’existe même pas de syndicats pour négocier puisque leurs effectifs sont trop petits pour atteindre les seuils sociaux.

    Les plus sages pourront toujours prévoir des avenants aux contrats de travail.

    Pour faire court, un monde dans lequel « télétravail » ne signifie pas grand chose de positif.

  16. Je suis d’accord avec Xavier, chaque fois que j’emploie ce terme, il semble quasiment ne faire référence qu’au travail à domicile avec une connotation péjorative.
    J’y réfléchis depuis longtemps sans avoir de réponse.
    Alors, pour l’instant j’avance avec.

  17. Au petit exercice de mots-clé ou associations d’idées, quelques lyonnais co-travailleurs freelance ont phosphoré :
    http://atelier-medias.org/coworkers-freelances-a-lyon/

    J’aime bien le « nomades land » (une faute, dommage !), également le « travailler seul à plusieurs », qui montre bien certains travers de la solitude à plusieurs, dans les grandes villes. J’imagine que ce n’est pas ainsi dans votre coin de verdure… comme chez mes amis de l’Arrêt Minute à Pomerol*.

    On a aussi le « collectif, urbain, E-travail », très connoté…

    (*) http://patrick3394.posterous.com/un-espace-de-coworking-rural-et-original-a-po

  18. Merci Patrick. Cela phosphore à Lyon. Faut bien dire que le coworking pousse aux échanges et à l’innovation.

    A la campagne on a aussi des grands moments de solitude. D’où l’intérêt de tiers-lieux où l’on peut se retrouver, pas seulement pour travailler.

    J’ai découvert récemment l’espace très sympa de Pomerol dont j’ai parlé ici : http://bit.ly/fdHd78

    Bonne chance et donnez des nouvelles de Lyon.

  19. Le télétravail est mort avec la télématique. C’est la notion même du statut salariat qui évolue… L’entreprise se réorganise dans des écosystèmes ouverts en s’appuyant sur des expertises externes : indépendants, freelance, auto entrepreneur, télétravailleurs, etc. On change désormais de statuts comme de chemises. Mais les individus eux, ont besoin d’échanger, de se regrouper, de créer sens….

    Il est donc assez naturel que les « travailleurs » cherchent et trouvent des espaces de coordination, d’innovation, de création de valeurs, de collectifs, de réseaux d’échanges.

    Nous sommes devenus des « agents économiques ubiquitaires », ici et ailleurs, enraciné dans un local que nous voulons développé avec d’autres. Les espaces de rencontres sont dans ce contexte assez secondaire.

    Faut il déposer une gerbe au taylorisme, au fordisme gestionnaire et au télétravail ? Face au capitalisme cognitif qui se met en place, il y a sans doute à réinventer le mot travail puisque la télé de Pernaud, on la regarde de moins en moins.

    Pas encore de réponse sur le mot nouveau, mais il arrive

    🙂

  20. Oui, pas mal, mais cette expression ne dit rien sur la notion de travail à distance.

  21. Je lis ici beaucoup de commentaires intéressants et m’intéresse depuis un petit moment aux problématiques de télétravail au sein des entreprises.
    Je suis étudiant en M1 à la SKEMA Business School et dans le cadre du projet mobility planet j’ai fais cette année une veille importante sur les différents modes de travail à distance.
    Je n’ai aucune prétention car je ne suis qu’étudiant et jeune débutant de ces problématiques mais pour moi il est à la fois essentiel de faire changer les mentalités à propos du travail à distance mais aussi le nom. En effet lorsque j’ai échangé avec des étudiants de mon groupe de projet (censés être l’avenir 🙂 ), ce qu’il en est ressorti c’est un parallèle entre le terme télétravail et minitel. Je n’ai en rien influencé ce discours mais voici ce qui en est ressorti.
    Je ne sais pas s’il faut changer ce mot mais à partir du moment où nous avons des jeunes pour qui un mot a une connotation archaïque, comment voulez vous que ce mot ait une signification positive auprès de dirigeants d’entreprises de demain et d’aujourd’hui ?
    Nous avons une langue qui regorge d’avantages et de beauté, je trouve dommage de ne pas en tirer le meilleur. De plus les mentalités doivent changer certes mais je pense que les gens, qu’on le veuille ou non, attachent encore énormément d’importance aux mots et je pense que la connotation d’un mot est presque aussi importante que l’univers autours duquel il est rattaché, on le voit bien avec l’image de marque des entreprises…
    Peut être que l’image de marque du télétravail ne va pas et par conséquent que ce mot ne correspond plus à l’image que ses acteurs veulent véhiculer.

    Je le répète ce n’est qu’un avis personnel étayé par quelques recherches…

  22. Salut Xavier,

    Je me casse la tête depuis plusieurs semaines et je ne trouve toujours pas… Mais espérons que l’illumination vienne – je garde le sujet dans un coin de ma tête et, qui sais, peut-être arriverons-nous à trouver un remplaçant pour ce mot qui a bien besoin de prendre sa retraite!

  23. Je ne suis pas inquiet, le nouveau mot s’imposera tout seul. On fera une petite fête pour le départ en retraite de « télétravail » avec un petit cadeau pour services rendus.

    Je voulais juste attirer l’attention sur l’évolution des usages (mobilité, distance et collaboratif) que « télétravail » n’exprime pas.

  24. Bravo à Xavier qui fait éclore ce débat bien français 🙂 Pendant que les français débattent sur les mots, le monde bouge : le mot télétravail n’est pratiquement plus utilisé à l’étranger depuis bien longtemps. Les gens parlent de « collaborative working » et n’utilisent que très rarement des anciens mots « telecommuting ».
    Même si le terme télétravail symbolise plein de bonnes choses, il arrive malheureusement à propager de mauvaises interprétations : il est encore compris comme un choix personnel de changement de vie sans développement de carrière ou de mode dégradé quand on ne peut pas faire autrement.
    Le télétravail bien compris est pourtant à mon sens porteur d’énormes potentiels de productivité et d’innovation pour toutes nos entreprises.
    La France est aussi un cas un cas particulier en Europe. La sphère parisienne domine largement le monde du travail et le TGV permet aux pauvres habitants des villes satellites de survivre en prenant régulièrement le train.
    Dans la plupart des pays d’Europe, il est courant d’avoir recours au télétravail sans en parler. Cela fait tout simplement partie des règles de bon sens.
    En France le terme « collaboration » ne plait pas car il fait un peu référence à un terme « collabo » utilisé pendant la seconde guerre mondiale. De plus, notre système éducatif pour des raisons de simplicité maintient la mesure de la performance individuelle et tous cadres en sont normalement les meilleurs produits.
    Faut-il dans ce cadre continuer à promouvoir le télétravail ? oui mais plutôt moins dans le concept, que par la pratique, la mise en œuvre,… les exemples. Il me semble que bientôt des réseaux collaboratifs de TPE feront bientôt de l’ombre à des multinationales et là enfin nos chefs d’entreprise se poseront la question.
    Plutôt que du télétravail, on voit maintenant des télégroupes de travail 🙂

  25. Merci Jacques de ce témoignage.

    Tu illustres parfaitement la ligne éditoriale du nouveau Zevillage à venir : imaginer, anticiper, explorer les nouvelles formes d’organisation du travail.

    Télétravail ne fait référence qu’à la distance et pas du tout aux usages actuels de travail collaboratif et de mobilité.

    Nous expérimentons avec quelques amis un groupement d’entreprises distantes (www.propulseurs.com) : l’union et l’indépendance, entreprise de TPE distribuées en réseau.

  26. Je pense qu’il est indispensable d’associer en effet le télétravail au collaboratif (travail en réseau). Par contre, associer la mobilité au télétravail est un contre-sens. C’est même précisément un des écueils actuels.
    Si les gens sont en situation de mobilité, c’est parce qu’ils n’acceptent pas de travailler à distance : ils se déplacent pour aller aux réunions ou sur un autre lieu de travail dans différents sites d’entreprise et comme ils doivent maintenir le contact dans leurs nombreux déplacements, ils prétendent alors faire du « télétravail » et ne semblent pas trouver y trouver une dégradation de performance. Cela fait évidemment le bonheur de l’industrie des télécom qui supporte le développement de la mobilité. Ce mode de télétravail en situation de mobilité est beaucoup plus cher (3G, Wimax,…) et moins performant que la fibre. Sans vouloir rejeter ce mode de télétravail en situation de mobilité, il faut le combattre en organisant des un télétravail à dominante de localisation fixe.

  27. J’ai fait un raccourci en les associant dans ce commentaire qui mérite un développement 😉 En fait je les oppose comme tu l’exprimes très bien aussi.

    J’ai même publié un article intitulé : Encourager la mobilité ou réduire la distance http://bit.ly/cYD54V.

    Je voulais juste dire qu’on observait une mutation des modes des travail dans laquelle le facteur distance n’était plus la seule nouveauté.

    Il faut aussi prendre en compte le collaboratif et la mobilité, même si on peut le déplorer parfois.

    Comme le résume Portnoff, les entreprises sont mises au défi de l’ubiquité : http://bit.ly/hpT56L

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